dimanche 15 juillet 2018

Photos de route

Lac de Garde


Rencontre du 1er type dans le Var


Pèlerinage....

Passage de col à 2200m, avec une remorque

Mariages



mardi 13 juin 2017

The end

Comme promis, après 6 mois de plus, un nouveau post. Mais cette fois peut être le dernier..




Depuis le post precedent, le plaisir a été au RV : pas de grosses pannes, plus de 1000km parcourus 😃, une vidange sans limaille dans la crépine, et plusieurs petites améliorations qui rendent les trajets toujours plus agréables..


Amélioration anti-bruit :

Même si moi je le supportais bien, mes filles se plaignaient un peu du bruit trop envahissant (surtout à l’arrière).

🎧🎺😣🙍
Pour supporter des longs trajets, il fallait trouver quelque chose..

Le bruit du moteur se propageant surtout à travers le plancher de coffre et par les tôles latérale en face des évents, au-dessus du compartiment moteur,




cest là qu'il fallait traiter en priorité : 
-       Soit empêcher ces tôles de vibrer (en empilant des plaques de mousse et de goudron par-dessus)
-       Soit les laisser vibrer, mais rajouter une barrière désolidarisée empêchant le bruit de se propager jusque dans l'habitacle !!
Et pour ça, une solution tout simple existe, efficace, démontable, coutant à peine quelques euros ☺
La PLAGE ARRIERE

et pourtant aucun exemple de mise en oeuvre sur un combi split retrouvé sur le net 😮



Fabriquée en quelques heures, avec 2 morceaux de tasseau, des restes de lambris, des chutes de mousse et de moquette.. et efficacité bluffante !

Maintenant, on peut se parler de l’avant à l’arrière, sans avoir besoin de crier ni de tourner la tête. Et les filles arrivent même à s’endormir ;-)


Autre avantage.. on peut maintenant laisser une veste, un sachet de courses ou quelques valises dans le combi sans qu’ils soient à la vue.





Ciel de toit DIY
Il existe bien des ciels de toit tout prêts dans le commerce, mais chers (400€), prévus pour des modèles DELUXE uniquement (baguettes à griffes presents sur le pourtour de la cabine avant) et pas directement compatibles avec mon toit ouvrant ;-)

Donc comme d’hab, Do It Yourself…

-       En préparation, collage de plaques de mousse (à la néoprène) sur le pavillon, pour isoler un tout petit peu du froid, et du bruit..  Solution la moins chère trouvé : des tapis de sol 1er prix de Decathlon..



-     Découpe des panneaux en medium 4mm qui se glissent de part et d’autre du conduit de ventilation.



-       Fabrication des arceaux : du fil de fer galvanisé 5mm (je ne veux pas voir des coulures de condensation teintées à la rouille dans un ou deux ans !!).. récupéré en taillant le grillage d’une barrière de chantier ;-) et formé à la main sur un gabarit



-       Ficelles tirées à travers l’habitacle, pour simuler le tissus, et permettre de prendre des mesures précises (en particulier de la hauteur des passants de baleine)



-       Tracé du plan



-       Découpe et couture
J ai reduit toutes les dimensions de approximativement 5%, pour compenser l'élongation lors de la mise en tension finale.


-       Première mise en place



Un petit truc de sellier : fixer sur les baleines des fils noués et tendus entre l'avant et l'arrière. Ils empêcheront les baleines de basculer vers l'avant ou l'arrière. .

-       Ciel de toit collé (à la néoprène liquide) sur les panneaux en medium, avec rebord repliés et agraphés sur l'envers.
Je fais moyennement confiance à la néoprène... Certains forums affirment que les plastifiants contenus dans le skai migrent dans la colle avec le temps, et la fragilisent. 

-       Mise en tension provisoire de l’arrière, fixé sur une planchette par des pinces à linge



-        Fixation du skai sur les rails autour du toit ouvrant.


-      Mise en place des baleines latérales et fixation définitive sur les cotés :
 Je replie le bord du skai autour d'une baguette plate en plastique, et je visse le tout en tendant bien, dans le dessous des gouttières.







-       Découpe, detrempage, mise en courbe et sechage des passages pour les charnières de coffre (isorel de 4mm)



le vynil est replié et agraphé sur l'envers avant mise en place finale




Terminé, et avec un super rendu pour du 100% home made
.. Là je suis fier de moi ☺





Fabrication d’un attelage

Vu qu’il a l’air de bien rouler maintenant, l’envie nous est venue (comme pour la cox il y a 10 ans !) de partir cet été en vacance en famille avec !

En projet, une boucle vers les lacs de l’Italie du Nord..



Mais à 5, avec tente, matos de camping et 5 vélos à trimballer, il fallait penser à une remorque !

Je me suis donc trouvée une petite bagagère en roues de 8’’, avec look un peu vieillot..
Certes ce ne sera pas une belle Tear-Drop en bois verni.. mais une fois repeinte aux couleurs du combi, elle s’appairera mieux qu’une MIL toute neuve en galva avec des roues de 13’’

Et du coup, il me fallait un attelage.
Là encore, Do It Yourself 
De l’acier en 50x20 au mètre, un peu de maquettage et de découpe puis quelques soudures, et un coup de peinture en bombe.
Dit comme ça ça a l’air simple.. Bon j’y ai passé 1 we complet quand même.
Mais au final, nickel..




Et là aussi, y’a un 2ème intérêt : ça fait office de barre de support moteur (avec juste 2 tampons en caoutchoucs insérés entre le bloc et la barre transversale)
Du coup, je n’aurai plus l’angoisse, à chaque ralentisseur, de voir le moteur tomber sur la route ;-)









Bon ben là… je crois qu’on peut déclarer le projet terminé… TAC achieved  ;-)
(technical acceptance of complétion pour les non-airbusiens  😆)





Cette resto aura quand même nécessité ou consommé  :
-       Plus de 3000 heures de travail (des périodes où j’y passais tous mes WE et soirées, et d’autres périodes de ras-le-bol, mais une moyenne de 10h par semaine pendant 6 ans 1/2 )
-       Une visseuse de remplacement, deux meuleuses et 4 ou 5 dizaines de disque à tronçonner ou ébarber
-       12m3 de gaz ATAL et 8kg de fil à souder, plusieurs mètres de tôle pliée,
-       6 ou 7kg de mastic, 5kg d’apprêt et 8kg de peinture, je ne sais plus combien de rouleaux de scotch,
-       20m² de skai, 4m² de moquette, du fil au km,
-       200 cosses Faston, des mètres de fil électrique de toutes couleurs, des rouleaux de chaterton…
-       4 jeans et une dizaine de tee shirts ..
-       Beaucoup d'entêtement, des litres d'huile de coude, et j’ai arrêté de comptabiliser les euros …. Y’en avait trop !
😮 💸💸💸💸💸💸😧.....😊



Maintenant le meilleur reste à venir… j’espère.
A nous les petites sorties avec des copains ou gros we camping, rassemblements d’anciennes, photos de mariages....

Premier essai sur un long trajet : Emmanuelle et les filles partent faire un Toulouse - grottes de Lascau pour un WE camping en famille.
(je n’y étais pas 😕 resté à Toulouse pour le boulôt)
230km aller, et pareil retour.. sans aucune difficulté 😃










Quand à ceux qui me demandent quel sera mon prochain projet, quand je vais commencer à m’ennuyer : ?????       ;-)
Peut être ça :







Ou alors plus simple, mettre en production une idée de mes filles l'année dernière...

vendredi 9 décembre 2016

Avant-dernier épisode

Mi juillet, le carrossier m’a enfin appelé, pour me dire que le combi était prêt… peinture terminée ☺

Il a donc été re-tracté sur 6km derrière la Peugeot,  avec un gyrophare sur le toit  (les filles n’y sont monté que pour les dernières dizaines de mètres ;-)

 




Ré-intégration du garage et début du remontage final

Toutes les pièces étaient à peu près prêtes à remonter

Pas de gros problèmes particuliers, même si chaque étape prend toujours plus de temps qu’imaginé :

- Chaque vis, chaque rondelle, chaque fixation doit être sélectionnée sur mesure pour bien s’adapter (diam, longueur, empreinte, épaisseur, couleur…) et re-nettoyée à la brosse métallique ou à la filière avant montage définitif... 

- Il faut mesurer et choisir également chaque joint un par un, pour qu’il s’adapte dans la gorge ou sur la surface prévue… grand choix chez www.comptoire-carrosserie.fr).. 
- Chaque pièce remontée nécessite souvent des ajustements de dernière minute, pour s’adapter correctement


> Installation du réservoir d’essence
Ligne d’essence refaite intégralement, du réservoir jusqu’à la pompe, en tuyau cuivre rigide de 6/8 mm cintré 



>Feux, rétros, RAS (bien poncer sous les connections des masses électriques)



>Montage du toit ouvrant et m
ise en place des cadres et des vitres,.. 

Pour les vitres, la technique du montage « à la ficelle » est super…
Par contre, le PU noir que j’avais déposé au fond des gorges des joints, ressort lors du montage et en fout partout ! beuark… vite nettoyer à l’alcool ! 
 


> Montage des pare-chocs et des plaques d’immatriculation 




> Installation du faisceau électrique Avant – Après



 


> Et enfin, montage du moteur… 

 

Ca y est, on y est 😀
Premier démarrage !
Il faut juste penser à bien remplir (à la seringue !!) et amorcer le carbu, avant de tenter le premier démarrage, pour ne pas avoir à forcer trop longtemps le temps que la pompe à essence s’amorce…



Plusieurs démarrages successifs, pour roder l’AAC et les poussoirs, et un vague réglage du carbu plus tard, on peut partir pour les premiers tours de roue.. 




 Le début des problèmes 

 Première sortie et premiers km effectués sans pbm dans le quartier… il démarre, freine à peu près, et ne fait pas trop de bruits bizarres.. Je suis super content. Et mes filles aussi 😊

 


 Tout semblait bien se passer, sauf que les problèmes sont arrivés bien vite 


> Les problèmes dû aux 《merdes_in_china》

J’ai acheté quelques fournitures sur ebay, provenance directe de hongkong… Pas chères, c’est vrai, mais j’aurais dû me méfier et ’abstenir !!! 

 - Des cosses électriques FASTON à 3€ la centaine… mais épaisses comme du papier à cigarette, et qui se cassent ou se dessertissent dès qu’on tire un peu dessus !!
Du coup, plein de faux contacts sont apparus, et j’ai dû en remplacer une bonne vingtaine 

- De la gaine thermo-rétractable low-cost : super fine, et qui se déchire sur les aspérités des fils soudés qu’elle est censée protéger.. Je suis vite revenu a mon chatterton renforcé fibres, de qualité aéronautique, fin et indestructible.. 

- Et pour finir, une electrovanne rajoutée en sortie du réservoir d’essence, pour la sécurité (qui se ferme dès qu’on coupe le contact), mais qui chauffe et finit par se refermer également en plein essai de roulage, sans prévenir… = moteur éteint et avec arrêt en catastrophe sur le bord de la route.. 
Combi abandonné au bord de la route, et 2km de marche pour aller chercher la voiture moderne et le tracter jusqu’à la maison 





>  Les problèmes dus à des pièces d’occase foireuses achetées en swap meet

Premier roulage de 5km : nickel 
Deuxième roulage, de nuit avec les phares… au bout de 5mn, le moteur s’arrête (électrovanne essence fermée) tandis que les feux vacillent.. : batterie vide. 
Combi à nouveau abandonné au bord de la route, et je rentre à pieds !! 

- Tests de charge effectués suivant la procédure suivante : 


 
Conclusion : tension de rechargement à 7-8 V = régulateur KO ? 
(En fait, après divers tests détaillés plus tard, il était bon… mais c’était un régulateur 6V !!) 

- Coup de chance, il me restait un autre régulateur dans un carton, acheté en swap meet… Je le monte et reteste suivant la même procédure. 
Et ce coup ci : panne inverse : tension de rechargement à 17-18V !!! celui-là était vraiment mort, bouffé, fondu … RAAAH Y’a plus qu’à acheter un régulateur neuf !!!




> Les problèmes liés à un mauvais remontage de ma part

 Je pars pour le troisième roulage, pas de pbm pendant presque 10km, avant de juste… perdre les freins !! 
Lors d’un freinage gentil, la pédale s’enfonce tout d’un coup jusqu’au plancher tandis que le combi ralenti à peine !!!

 Panique et freinage d’urgence au frein à main 😨😨😨

Retour au ralenti à la maison et inspection qui révèle de magnifiques coulures de loockeed sur le pneu avant gauche. 
Le démontage du tambour dévoilera un tuyau interne au tambour tordu et rapé… Il s’est manifestement légèrement déplacé vers le moyeu, et s’est fait happer / coincer entre le moyeu du tambour et le flasque, où il s’est fait usiner jusqu’à percer !!! 



Pièce à changer, et contrôle préventif de l’autre coté !!!! 


> Recrantage pour mise à une hauteur plus décente 
Une fois le moteur remonté, Je trouvais le combi finalement trop bas (tape-cul sur les ralentisseurs), et un peu bas plus à gauche qu’à droite 😮
Je re-règle tout ça.. et je termine par un réglage parallélisme à la bonne vieille méthode de la règle (largement suffisant comme précision, pour rouler à 80km/h)…




Bref… le combi roule de nouveau, mais Y’a encore du boulot et la fiabilité n’est pas encore suffisante pour oser s’éloigner trop de la base ;-) 



Intermède technique : Contrôler – réparer un régulateur. 

Jusqu’en 1972 à peu près, VW a installé des dynamos pour recharger la batterie.. Cette techno était en effet moins chère que les alternateurs à régulateur électronique… 

Les dynamo elles même sont solides et faciles à réparer. Par contre, les régulateurs peuvent lâcher sans prévenir.. 


Etape 1 : test du régulateur installé sur le moteur 
Suivre les instructions de https://www.mecatechnic.com/fiches_techniques/MECATECHNIC_Controle_de_la_dynamo.pdf 

Il est possible d’aller plus loin dans les tests, en suivant les instructions du lien ci-dessous… A noter : les DYNAMO COX SONT DE TYPE B 
http://www.techni-tacot.com/fiches/pannes_dyn.htm 

Si la dynamo est OK, mais le régulateur ne fonctionne pas, passer à l’étape 2 


Etape 2 : test du régulateur sur établi 
Voici un lien qui explique le fonctionnement détaillé du régulateur.. http://www.flat4ever.com/circuit-de-charge-comprendre-et-reparer-dynamo-et-regulateur/

> Avec le régulateur totalement débranché, mesurer la résistance entre les pattes Df et D+ Elle doit être de 0 ohms…


Si ce n’est pas le cas, (et en particulier si la résistance lue est de environ 4 ohms), c’est que le « grain » de la palette C1-C2 ne fait pas bien contact…
Il est parfois juste un peu piqué.. Possible de le raviver et passant un morceau de papier de verre P400 ou + quelques fois entre les contacts.



> Avec le capot du régulateur retiré, appuyer doucement sur la partie mobile de la palette, pour faire décoller le grain..
La valeur lue doit être de environ 4 ohms.
Si la valeur est de 0, c’est qu’il y a un court-circuit quelque part
Si la valeur est Infini, c’est que la résistance R est coupée ou grillée…



 Dans les deux cas, il est possible de remplacer la résistance KO par une résistance de puissance moderne, 4 ohms

> Appliquer une tension de 12V entre les bornes D+ et la masse
On doit voir la palette mobile basculer en position « collée »
Sinon, c’est que l’electro-aimant de la palette est mort… là, y’a plus grand-chose à faire… poubelle.

Après, il y a des cas où le régulateur n’est vraiment pas réparable :
Grain bouffé, patte tordue et un contact fondu !





On attaque les finitions

Début septembre : le combi roule !!! Assez bien même après quelques soucis électriques corrigés..

Contrôle technique « CG normale » obtenu avec seulement 2 points au compte rendu :
- Suintements d’huile bloc moteur (as per design comme on dirait au boulot 😆)
- Phare gauche réglé trop bas (fait exprès car phare trop haut = contre-visite)

Rien d’autre ! Même pas un petit ripage excessif, un freinage désequilibré ou un jeu dans une articulation…


Du coup, je peux commencer à rouler plus loin  (80km en une journée..) Et je règle progressivement les derniers détails :

 > Installation d’un petit extincteur (privilégier les modèles à eau additivée plutôt que poudre ABC….
Ces derniers sont super efficace pour éteindre un feu, mais pulvérisent des nuages de poudre hyper corrosive qui s’insinuent partout…
 Certe la voiture ne brule pas complètement sur le coup, mais tous les mécanismes, pièces électriques, le moteur, les tissus etc sont condamnés, et vont lâcher à court ou moyen terme..
Et ce ne sera pas remboursé par l’assurance qui ne couvre que les dégats du feu lui-même 😠 )



>Installation d’un warning
 super simple : 2 diodes de puissance (mini 4A) achetées sur eBay, et un interrupteur, montés comme sur le schéma…
Si ils avaient eu les semi-conducteurs en 1960, ils l’auraient certainement fait.. ;-)


> Installation des manos de contrôle du moteur :
Pression et T° d’huile + T° des culasses (sonde sous bougie 3)



> Raccordement de la prise de dépression du servofrein jusque sur la pipe d’admission..
Je n’avais pas de prise de depression sur ma pipe SA, ni sur l’embase du carbu… J’en ai donc fabriqué une…
Une vis à tête bombée, percée sur toute sa longueur, est enfilée par l'interieur de la pipe d’admission  (avec le dessous de tête limé pour s’approcher de l’arrondi intérieure de la pipe, et le dessus de la tête meulé pour désaffleurer le moins possible).
Un joint papier imbibé de permatex garantie l’étanchéité, et un écrou à l'exterieur serre le tout


 L’amélioration sur le mordant du freinage est hallucinante… plus rien à voir avec le vague ralentissement obtenu auparavant lorsqu’on freinait « normalement » au lieu de « cuisse d’haltérophile ».


> Fabrication des panneaux d'habillage de portières et de flanc :
 un peu long mais assez facile à faire, pour bien moins cher que les 700€ du kit TMI : 30€ de contre-plaqué, 10€ d’agrafes, 80€ de simili et ouatine

- Decouper la forme du panneau dans du contre-plaqué 5mm (couper 2/3 mm plus petits sur le pourtour, pour compenser la surépaisseur du tissus
- fabrication de la bande centrale à bourrelet (mais vous pouvez aussi faire une bande plate, plus facile)…
 C’est comme pour les bossages de la banquette : préparer un sandwich Skai/ouatine/tissus (ouatine 300g/m²), et coudre le tout bien serré, suivant des lignes parallèles tracées au crayon.
Ma PFAFF 145 a donné un super résultat, mais c’est envisageable avec une machine standard.




- Positionner la bande centrale sur le panneau et la pré-fixer bien tendue avec quelques agrafes
- Positionner par-dessus une des bande exterieure, à l’envers, et agrapher le bord des 2 bandes à la planche… bien aligner et serrer les agraphes en guidant l’agrafeuse contre une règle..


- Garnir la zone de la bande exterieure de mousse + ouatine, rabattre le skai, et agrafer le bord sur l’envers du panneau… Et voila

 


> panneaux latéraux arrière
Pour ces panneaux courbes, j’ai pris des panneaux de médium 5mm, que j’ai imbibé d’eau pour les ramollir un peu, formé à la main, et maintenu en position courbée le temps de sécher.. ..
une fois sec, ils gardent la position courbe..
Petit truc pour bien les imbiber d’eau : enrouler la zone à traiter avec du sopalin, imbiber d’eau, et attendre 3 ou 4 heures que l’humidité migre dans le bois..


J'y intègre 2 HPs qui rentrent dans l’épaisseur disponible (40mm max)


> Panneau sous banquette :
Juste une plaque de contre-plaqué recouverte d’une couche de ouatine et de skai, qui se fixe sur les pieds de banquette.
Et derrière cette plaque, sous la banquette, une bonne couche de mousse, pour atténuer au maximum le passage du bruit du moteur vers la cabine..


 > Plancher et moquette
 Plancher réalisé avec du parquet stratifié à clipper low-cost, posé sur 2 couches de mousse isolante à parquet, low-cost également
 Je recouvre d’une belle moquette bleu électrique de chez St-Maclou, bordée d’un galon bleu..
Le résultat fait largement aussi pro et cossu que les TMI en croute de plastique…

 

 

Conséquence immédiate : c’est vachement plus joli
Conséquence secondaire : il est un peu moins bruyant à l’interieur 😊



Avec tout ça, le combi est vraiment devenu clean…

Reste juste le ciel de toit à faire, mais ça attendra un peu…
Et puis aussi la sellerie de la banquette du milieu,
Et refaire les banquettes avant, sabler et repeindre les jantes, rechromer les enjoliveurs, installer des safaris et des pop outs, puis …..

Et puis rouler !  (bon, la vidéo ne passe pas sur tous les smartphones... essayez sur un PC.. C'était en Septembre, avant qu'on y ajoute les panneaux, l'interieur, la moquette....)



Prochain post dans 6 mois ou 1 an  😉😉😉😉😉😉